Pour sortir du froid hivernal, je vous propose de continuer notre périple azuréen, avec un petit morceau de côte épargnée et encore sauvage, la pointe du Layet vers Cavalière.
L'endroit n'est pas très grand, une pointe rocheuse qui s'enfonce dans la méditerranée refermant l'anse de Cavalière face au Cap Nègre.
La végétation est composée de pins, d'agaves et autres plantes grasses, la côte rocheuse est très découpée et offre quelques petites criques de sable roux.
Inutile d'espérer trouver ces plages désertes comme ici en pleine saison, le stationnement même doit être impossible. Une fois encore la Côte d'Azur ne s'apprécie qu'en hiver pour ceux qui comme moi préfère son côté nature.
François comme moi ne peut s'empêcher de photographier ce paysage magnifique.
Ici la côte d'azur est très découpée, au dernier plan, le Cap Nègre plonge dans la mer.
Sur la crête du Cap Nègre, dépassant des arbres, le toit de la maison d'une chanteuse mariée avec un ancien président de petite taille...
Le site est d'une extraordinaire beauté, je ne peux m'empêcher d'imaginer la Côte d'Azur dans les années 1920 ou 30, avant le massacre immobilier, ce devait être sublime.
Un pin maritime, je suppose, en tout cas si c'est le cas, il n'aura jamais aussi bien porté son nom.
La pointe du Layet forme de petites calanques, certaines offrent des plages, d'autres sont des renfoncements dans le rocher.
Un pêcheur a trouvé un emplacement idéal et profite comme nous de cette merveilleuse fin de journée.
Le rocher devient doré avec le soleil couchant, et le paysage est encore plus beau.
Valérie admire le paysage du sommet de la falaise rouge.
Le tour de la pointe se fait rapidement, nous arrivons déjà face au Cap Nègre.
François et Chantal nous attendent sur un rocher contemplant le coucher du soleil.
La plage du Layet est déserte, elle offre à Valérie les quelques coquillages méditerranéens que la dernière tempête a déposés.
Pour conclure, je voudrais remercier François et Chantal pour cette très belle découverte, la Côte d'Azur comme je l'aime, merci !
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