Lorsque l'abus autoritaire devient contreproductif, il faut oser se poser les bonnes questions.
Alors que 24 % des décès sur les routes de France sont dus à l'alcool, le gouvernement s'interroge sur la pertinence de baisser les limitations de vitesse sur les nationales et les autoroutes. Comment et pourquoi refuser de voir la réalité en face ? Est-ce la peur des lobbyistes alcoolier, ou la volonté, alors que les Français respectent de plus en plus les limitations de vitesse en vigueur, de rentabiliser encore un peu la manne financière offerte par les radars routiers ?